T’as du pot de courir à Anduze tu sais

Comme promis un petit flash back vers le passé aussi simple qu’un article, manipulation à faire pâlir tous les fans de Doc et rendre la DeLorean obsolète ; enfin je m’égare et mes introductions sont de plus en plus naze mais quand on a la loose en soi on s’y accommode facilement.

Tout ça pour dire qu’en ce mois d’Août ou je commence la préparation du Marathon de Montpellier je me souviens encore comme si c’était il y a deux mois ma petite sortie à Anduze afin de participer à la Course pédestre organisée dans la ville de la poterie dans le cadre de la fête de la Pentecôte, c’est quand même la 21^ème édition de celle-ci. En plus ils sont sympas on t’offre à l’inscription un petit pot d’Anduze en terre cuite.

J’en profite pour soudoyer ma bien aimée de m’accompagner avec notre chipie pour qu’on profite pleinement de la journée la bas (même si le Train à vapeur et la Bambouseraie n’avaient plus de secrets pour nous) ; au passage je m’excuse auprès d’elle d’avoir voulut partir bien trop tôt car on a quand même bien attendu l’après midi le départ de la course et le parc d’Anduze c’est bien mais c’est monotone.

Heureusement nous avons regardé avec plaisir les courses enfants et celle des garçons de café qui consiste à faire courir les serveurs des cafés de la ville sur 800 mètres avec un plateau et des verres d’eau remplis.

Donc course de 15 kilomètres au programme avec un départ à 17h30, en tout cas c’est sympa de participer à une course vraiment amateur sans puce pour le chrono et un départ plus calme du fait d’un nombre de participants moindre (mais quand même 500 coureurs). Je me suis inscrit à tout hasard la veille sans connaître vraiment le tracé juste que c’est un peu vallonné.

 

Je serais pas déçu du voyage après un plat de quelques bornes avalé à 14 kms/h on attaque la montée sur le village de Tornac par un chemin escarpé et très pentu puis une descente digne d’un Trail ; arrivé dans Tornac on s’imagine tranquille pour le reste mais ça repart fort sur un chemin qui n’en finit plus de grimper ; l’environnement est joli et comme je me sens plutôt pas mal (je suis en préparation du Marvejols – Mende donc les entrainements c’est surtout de la côte) je lâche les chevaux et je double plein de concurrent. Au sommet c’est parti pour 4 kilomètres de descente qui font mal aux jambes (les descentes ce n’est pas pour moi) et je finis le tracé en 1h10min et une moyenne de 12,8 kms/h. Je suis très content de ma prestation mais pas le temps de trainer on repart car il se fait tard et il reste encore plus d’une heure de route.

Pour conclure un grand merci à Cess d’avoir gardé Naïs pendant la course alors qu’elle avait bien la bougeotte.

Rendez vous pour la prochaine aventure sur Lattes.